50 years of illuminating the path for science in Canada
On December 15, 1974, TRIUMF accelerated H- ions and extracted a proton beam from a 520 MeV cyclotron for the first time.
To commemorate this milestone an original illustration has been created. This hallmark artwork is provided here for download in several useful formats. The cyclotron; it’s novelty and capability is presented in stories about its unique colourway and interactive imagerythroughout this site.
TRIUMF se situe sur le territoire traditionnel, ancestral et non cédé du peuple xʷməθkʷəy̓əm (Musqueam), qui depuis des millénaires transmet sa culture, son histoire et ses traditions d’une génération à l’autre sur ce site.
Le géant d’acier de TRIUMF a vu le jour le 15 décembre 1974 à 15h30. L’équipe était regroupée autour d’un petit écran dans la salle de contrôle lorsqu’un point lumineux apparût, signe qu’un faisceau de particules avait fait le tour du cyclotron et en avait était extrait avec succès — le faisceau de particules le plus puissant du Canada.
2024 marque le cinquantenaire de la contribution éclatante de la communauté du laboratoire à la science au Canada, grâce à son cyclotron de 520 MeV et à son faisceau de protons à haute énergie. Nos accélérateurs de particules restent le moteur de programmes de recherches de haut niveau, rassemblent les communautés nationales et propulsent la science canadienne sur la scène mondiale.
Première d’une série d’illustrations, cette reconstitution fidèle met en valeur les couleurs incomparables du cyclotron niché dans sa voûte de béton et d’acier située à quatre étages sous terre à l’extrémité ouest de Vancouver, et maintenant dévoilé pour tous comme le cyclotron le plus coloré du monde.
Mot de l’artiste
Inspirée d’affiches de science-fiction, de bandes dessinées, et du cadre magnifique entourant TRIUMF, cette œuvre trouve sa source dans une perspective isométrique mettant l’accent sur les montagnes, la ville, et l’eau environnante. Représenter le cyclotron et sa complexité fût la difficulté principale. Grâce à sa palette de couleurs, l’illustration décrit la symphonie quotidienne entre cette machine et ses opérateurs dans la salle de contrôle, ainsi que son orchestre invisible entre science et art.